René HERVY (sosa 658 10ème génération) voit le jour vers 1647. Il est le fils légitime de Guy HERVY, âgé de 27 ans environ et de Briande LANGEVIN, âgée de 23 ans environ.                                   Il sera  matelot de 4ème classe Sa mère Briande meurt le 11 février 1669, René est âgé de 22 ans environ. Il s'unit, le jeudi 4 mai 1684 à Miniac-Morvan, avec Isabeau CORBEL (1664-> 1732), la fille légitime de Charles CORBEL et de Jeanne PESTEL.. Ils auront quatre enfants : - Jeanne née vers 1686. - Charles né en 1686. - Jacquemine née en 1690. - Claudine née en 1692. René HERVY est décédé entre 1692 et 1711, à l'âge probablement de 45 à 63 ans, à Miniac- Morvan Ses services en mer : En 1683 à Brest sur le fort à 12 livres - En 1682 sur le "Georges" En 1684 sur le "Lys blanc" En 1685 sur "le Baron" En 1686 et 1687 sur "Le René". Louis BASLE (sosa 1378 11ème génération) voit le jour vers 1646. Il est le fils légitime de Guillaume BASLE et de Jeanne MAHÉ.                                     Il sera  matelot et corsaire Il s'unit avec Olive MORVAN (1649-1725), la fille légitime de Olivier MORVAN et de Christine DURAND. Ils auront quatre enfants : - Charlotte née vers 1681. - Gilette née en 1682. - Samson né vers 1684. - Louis né en 1690. Vers 1681, naît sa fille Charlotte. Louis est âgé de 35 ans environ. Le 21 août 1682 naît sa fille Gilette. Louis est âgé de 36 ans environ. Vers 1684 naît son fils Samson. Louis est âgé de 38 ans environ. Le 31 octobre 1690 naît son fils Louis. Louis est âgé de 44 ans environ. Le 21 octobre 1707 son fils Samson meurt, Louis est âgé de 61 ans environ. Le 6 décembre 1725 son épouse Olive meurt, Louis est âgé de 79 ans environ. Louis BASLE est décédé le lundi 30 mars 1733, à l'âge de 87 ans environ, à Miniac-Morvan - Haut Gouillon.  Il est inhumé le 31 mars 1733 dans l’église de Miniac-Morvan. Ses services en mer : Il demeure au" Haut-Gouillon". Il est rétribué à 15 livres sur le “Content”, soit environ 250 de nos euros, si l’on se réfère à ce site internet, consultable ici 51 ans en 1697 fils de Guillaume et de Jeanne Mahé époux d' Olive Morvan demeurant au Haut Gouillon. Services particuliers : en 1696/1697 sur la "Falluère", en course - En avril 1698 sur la "France" au Petit nord - En mars 1699 sur "l'Ange Gabriel" (220 Tonneaux, 16 canons, 45 hommes) au Petit nord - En mars 1703 sur la "Pigre" au Chapeau Rouge, pêche sédentaire. Combat de « La Falluère » au large de l’île de Groix Le 25 mars 1697, cette frégate de 38 canons, capitaine Hervé Dufresne des Saudrais, faisait partie de l’escadre de René Dugay-Trouin, composée des vaisseaux « Saint-Jacques-des-Victoires », capitaine Duguay-Trouin, de 48 canons et du « Sans-Pareil », capitaine Jacques Boscher, des frégates « Léonore » et « l’Aigle noir », capitaine Thomas Belisle-Pépin, de 30 canons. Cette escadre de 5 unités intercepta, au large de l’île de Groix, une flotte marchande hollandaise de 19 navires venant de Bilbao et escortée de 3 vaisseaux, dont le « Houaslerdick » et le « Delf », tous deux de 54 canons, commandée par le baron Van Wassenaer, vice-amiral.Le combat fut terrible, le « Sans-pareil » subit de très gros dégâts par l’explosion de caisses de gargousses, au cours de l’abordage du vaisseau amiral, et 70 de ces hommes périrent, soit tués sur place ou précipités à la mer. Le capitaine de « La Falluère », Dufresne des Saudrais, fut tué au cours de l’abordage du « Delf ». De l’issue de cet engagement, les trois vaisseaux hollandais furent mis hors de combat avec 500 hommes faits prisonniers puis au moins une douzaine de navires marchands capturés. Duguay-Trouin est vainqueur. Il réussit à ramener tous ses navires avec leurs prises, 3 vaisseaux démâtés et 12 marchands jusqu’au Port-Louis. Il sera chaudement félicité par le roi à qui il a été présenté et récompensé par un titre de capitaine de frégate à 24 ans, mais dans ses mémoires où plusieurs pages sont consacrées à cette bataille, ses mots les plus émouvants sont pour son adversaire gravement blessé et aussi jeune que lui, dont il a admiré toute la conscience et le courage. Une belle leçon de fair-play. Voici un épisode de ce combat raconté par Duguay-Trouin lui-même : « Dans cet intervalle, l’Aigle-Noir et la Falluère s’étaient rendus maîtres du troisième vaisseau de guerre et cette dernière frégate se trouvant à portée de ma voix, j’ordonnais à M. des Saudrais- Dufresne qui la montait, de s’avancer sur le vaisseau le Delf, afin d’entretenir le combat et de me donner le temps de venir à la charge. Il s’y présenta de la meilleure grâce du monde mais malheureusement il fut tué dès les premiers coups ; ce nouveau contretemps mit le désordre dans cette frégate qui vint en travers et m’attendit ; j’appris avec une extrême douleur la mort d’un homme si courageux et je dis à M. de Langovan, son capitaine en second, de me suivre pour le venger. En effet je me retrouvais tête baissée à aborder ce redoutable baron, résolu de vaincre ou périr. Cette dernière scène fut si vive et si sanglante que tous les officiers de son vaisseau furent tués ou blessés, il reçut lui-même quatre blessures très dangereuses et tomba sur son gaillard d’arrière où il fut pris les armes à la main. La frégate “la Falluère” eut part à ce dernier avantage en venant m’aborder et en jetant dans mon bord 40 hommes de renfort ». Samson BASLE ( fils des sosas 1378 et 1379) voit le jour vers 1684 à Miniac-Morvan. Il est le fils légitime de Louis BASLE, Matelot, âgé de 38 ans environ et de Olive MORVAN, âgée de 34 ans environ. A sa naissance, il a plusieurs soeurs : Charlotte (née vers 1681), Gilette (née en 1682).                                       Il sera  matelot et corsaire Samson BASLE est décédé le vendredi 21 octobre 1707, à l'âge de 23 ans environ, en Mer. Ses services en mer : Il a 20 ans en 1704. Il est donc né en 1684 et a fait deux campagnes de course à partir de 1704, rétribué à 10 livres. En 1707, il est sur l' "Achille", (66 canons, capitaine Chevalier de Beauharnais) à l' escadre de Dugay-Trouin. Le 21 octobre 1707 , à l' entrée de la Manche , l ' "Achille" aborde le navire anglais "Royal Oak". Alors que les hommes sautaient à l'abordage et s' en rendaient maîtres, le feu prit dans les gargousses ( sacs à poudre ), il y eut explosion et plus de 100 français périrent. Samson était de ceux là, mort à 23 ans pour 10 livres par mois ! ( envriron 160 de nos euros actuels. Cliquez ici ). Au même moment, le navire anglais "Devonshire", 86 canons, prit feu et sauta avec ses 900 hommes. Ce qui n'est pas une consolation ! La bataille du cap Lizard La bataille du cap Lizard, également connue sous le nom de désastre du convoi du Portugal, est une bataille navale livrée pendant la guerre de Succession d'Espagne, le 21 octobre 1707. Elle oppose une flotte française, commandée par Claude de Forbin et René Duguay-Trouin, à l'escorte anglaise d'un important convoi emmenant des renforts à destination de Lisbonne et sous les ordres du commodore Richard Edwards. Les Anglais sont battus à l'issue d'un affrontement difficile et le convoi ne peut ravitailler le corps expéditionnaire anglais présent au Portugal. Contexte La guerre de succession d'Espagne (1701-1714) qui voit les grandes puissances européennes s'affronter afin d'imposer leur candidat sur le trône d'Espagne est dans sa sixième année. La guerre sur mer, entre la flotte alliée franco-espagnole d'une part et la flotte anglaise d'autre part, se concentre en Méditerranée. Le dernier grand affrontement entre les deux flottes remonte à l'été 1704, lors de la bataille navale de Vélez-Málaga qui se termine de manière indécise. Entre juillet et août 1707, la flotte anglaise, sous les ordres de l'amiral Schovell assiège Toulon sans succès puisque le siège doit être levé au bout de deux mois. Le 19 octobre de la même année, deux escadres françaises composées de six vaisseaux chacune  et placées sous les ordres du comte De Forbin et René Duguay-Trouin, appareillent de Brest. Le 20 octobre 1707, une importante flotte marchande composée de 80 à 130 navires marchands anglais quitte Plymouth à destination du Portugal avec des vivres pour les armées présentes en Espagne. Ces navires marchands sont escortés par cinq vaisseaux de ligne placés sous le commandement du commodore Edwards. La bataille Le 21 octobre, à 40 km au large du cap Lizard, Forbin aperçoit le convoi et décide de l'attaque. Forbin, chef d'escadre depuis le 27 septembre est l'officier supérieur le plus haut gradé et les décisions lui reviennent; cependant, c'est Duguay-Trouin, alors capitaine de vaisseau qui va se montrer le plus agressif, c'est le vaisseau de ce dernier qui conduit l'attaque et subira le plus de dégâts après que Forbin ait ordonné la chasse. Le HMS Cumberland est immédiatement pilonné par l'artillerie du Lys et attaqué par La Gloire. Avec 200 hommes hors de combat, il abaisse son pavillon et se rend. Le HMS Royal Oak parvient à s'échapper du combat, il est immédiatement pris en chasse par L'Achille mais une explosion accidentelle de gargousse endommage le vaisseau français, tue ou blesse 120 membres d'équipage et le contraint à abandonner la poursuite. Le HMS Chester et le HMS Ruby se battent respectivement contre Le Jason et L'Amazone mais doivent eux aussi abaisser leurs pavillons. Issue et conséquence La bataille se solde par une victoire sans appel de la flotte française; le HMS Cumberland, le HMS Chester et le HMS Ruby sont capturés et seul, le HMS Royal Oak parvient à rejoindre Kinsale avec quelques navires marchands. Le HMS Devonshire, quant à lui se défend pendant plusieurs heures, seul contre sept vaisseaux français jusqu'à ce qu'un feu se déclare à bord et qu'il n'explose. Seuls deux marins survivent sur les 900 que comptait l'équipage. La capture et mise en déroute de ce convoi eut pour conséquence de retarder l'approvisionnement en vivres et en renforts du corps expéditionnaire anglais présent au Portugal et à la placer sur la défensive en Espagne.   Débat autour du nombre de prises Le nombre de navires marchands capturés par la flotte française n'a pas été formellement tranché par les historiens. Des sources françaises parlent de 60 bâtiments capturés sur les 80 que comptait le convoi, certaines sources britanniques n'évoquent aucunes pertes. Le fait que René Duguay-Trouin et Claude de Forbin se disputèrent dans leurs Mémoires respectives la paternité de cette victoire, a certainement conduit l'un et l'autre à « gonfler » le nombre de bâtiments capturés. Le nombre exact se trouve probablement entre les deux: Polak dans sa Bibliographie maritime française parle de 15 bâtiments marchands capturés. Jean-Claude Castex reprend, lui aussi, le nombre de 15 navires marchands capturés. Bataille du cap Lizard, 21 octobre 1707 Huile sur toile de Théodore Gudin Vaisseau de 64 canons Un vaisseau de 64 canons est un modèle de navires de guerre du XVIIIème siècle, qui doivent leur nom à leur armement, composé de 64 canons répartis sur deux ponts-batteries et leurs gaillards. Histoire Pour les Britanniques de la Royal Navy, les unités de ce modèle sont classées comme vaisseaux de troisième rang, tandis que dans la Marine royale française, elles sont plus simplement qualifiées de « vaisseau de 64 ». Articles connexes : Man'o'war et Classement par rang des vaisseaux. Sous Louis XIV, de nombreux vaisseaux sont armés avec 60 ou 62 canons (percés à douze sabords), mais il faut attendre le milieu du règne de Louis XV pour qu'un effort de standardisation de la construction et de l'armement (autour des canons de 24, 12 et 8 livres) des vaisseaux aboutisse au premier vaisseau de 64, le Borée, lancé en 1734 (percé à treize sabords). Les Britanniques commencent à les copier à partir de 1764 (HMS Asia), abandonnant la construction de vaisseaux de 60 canons. Leur particularité est un armement un peu plus lourd, l'Amirauté britannique mettant des 18 livres dans la seconde batterie (des 12 livres chez les Français). Complètement surpassés en puissance de tir par les vaisseaux de 74 canons (qui emportent des canons de 36 et de 18 livres dans leurs batteries) et en vitesse par les nouvelles frégates (frégates de 12 et frégates de 18), les 64 n'ont pour avantages relatifs avec les autres vaisseaux que leur plus faible coût et leur tirant d'eau réduit (ce qui est important aux Indes). Le dernier vaisseau de 64 construit en France est le Jason en 1779, ce qui fait un total de 61 vaisseaux français construits. Par contre les Britanniques poursuivront la production un peu plus longtemps, étant donné leurs besoins pour protéger leurs convois marchands ; le quarante-troisième et dernier vaisseau britannique de ce type est lancé en 1787 (HMS Vétéran). Trois d'entre-eux seront rasés pour les convertir en frégates de 24 (ils passent de 64 à 44 pièces d'artillerie, mais gagnent en légèreté et donc en vitesse). Dimensions Presque tous les vaisseaux de 64 sont des modèles uniques, mises à part de courtes séries à partir du milieu du XVIIIe siècle, telles qu'en France les séries suivantes : le Lion, le Sage et le Fantasque (1751-1758) ; l’Artésien, le Roland, l’Alexandre, le Prothée et l’Éveillé (1765-1772) ; le Brillant et le Solitaire (1774) ; le Réfléchi et le Caton (1776-1777). Les vaisseaux de 64 canons de la seconde moitié du XVIIIe siècle font de 159 à 153 pieds de long (soit de 48 à 43 mètres), environ 44 pieds de large (environ 13,5 mètres), de 19 à 18 pieds (de 6 à 5,5 mètres de tirant d'eau). Ces dimensions sont déterminées par la place qu'occupe l'armement dans les batteries, tout comme l'équipage (environ 500 hommes) qui doit être assez nombreux pour servir les pièces. Armement Côté français, les 64 canons emportent un armement standardisé : 26 canons de 24 livres dans la première batterie ; 28 canons de 12 livres dans la seconde batterie ; 10 canons de 6 livres sur les gaillards. Masse totale d'une bordée : 510 livres de boulets. Article détaillé : Artésien. Côté britannique (pas de caronades) : 26 canons de 24 livres dans la première batterie ; 26 canons de 18 livres dans la seconde batterie ; 10 canons de 4 livres et 2 canons de 9 livres sur les gaillards. Masse totale d'une bordée : 575 livres de boulets. Équipage Selon le règlement français du 1er janvier 1786, l'équipage de temps de guerre doit être théoriquement de 538 hommes (377 en temps de paix) : soit 12 officiers, 7 élèves ou volontaires, 47 officiers-mariniers, 36 canonniers (des troupes de marine), 6 timoniers, 288 matelots, 70 soldats (troupes de marine ou infanterie de ligne), 44 mousses, 12 surnuméraires et 13 valets. Notes et références Source : Archives nationales, fond Marine, B5-28.    Guillaume Goger (sosa 702) , fils légitime de Thomas GOGER et de Julienne CORBINAIS nait le 8 janvier 1663 à Miniac Morvan (Ille et Vilaine)                                 Il sera  Corsaire du Roi Il s'unit le mardi 20 février 1691 à Miniac Morvan avec Gabrielle DUFEIL (1664-1729), la fille légitime de Jan DUFEIL et de Thomasse GROUGNARD. Ils auront dix enfants. Le 3 février 1692 naît son fils Guy. Guillaume est âgé de 29 ans. Le 3 janvier 1693 naît sa fille Catherine. Guillaume est âgé de 30 ans. Le 30 août 1694 naît son fils Jean. Guillaume est âgé de 31 ans. Le 3 février 1696 naît son fils Guy. Guillaume est âgé de 33 ans. Le 28 mars 1697 naît et meurt un fils. Guillaume est âgé de 34 ans. Le 10 août 1698 naît son fils Joseph. Guillaume est âgé de 35 ans. Le 18 octobre 1700 naît son fils Guillaume. Guillaume est âgé de 37 ans. Le 29 juin 1702 naît son fils Pierre. Guillaume est âgé de 39 ans. Le 4 juin 1706 naît sa fille Françoise. Guillaume est âgé de 43 ans. Le 26 septembre 1707 sa fille Françoise meurt, Guillaume est âgé de 44 ans. Le 18 juillet 1708 naît sa fille Marie. Guillaume est âgé de 45 ans. Le 6 août 1723 son fils Pierre meurt, Guillaume est âgé de 60 ans. Le 31 août 1729 son épouse Gabrielle meurt, Guillaume est âgé de 66 ans. Le 11 septembre 1731 sa fille Catherine meurt, Guillaume est âgé de 68 ans. Guillaume GOGER est décédé le lundi 9 mai 1740, à l'âge de 77 ans, à Miniac-Morvan. Ses services en mer : Registre matricule : cote archives de Brest : 1P 322 Il a 38 ans en 1697, fils de Thomas et de Julienne Corbinais, époux de Gabrielle Dufay, demeurant au Bourg. Il est de taille moyenne et à les cheveux bruns. Il est canonnier. On le trouve en course sur différents vaisseaux du Roy : - En 1694 sur le " Petit Louis" à 15 livres. - En 1696 sur la "Joyeuse" ( corsaire 220 Tx,22 canons,150 hommes, capitaine Claude Raoul du Fresne qui captura cette année là le "City of London" de 400 Tx, anglais et le "Lys blanc" de 450 Tx, hollandais). - En mars 1697 payé pour le service de canonnier à 16 livres. - En juillet 1702 sur le "Saint Esprit” (voyage du Cap Horn avec Alain Poree) en course. La "Joyeuse" : bateau corsaire de 220 Tx qui captura en 1696 le "City of London" anglais) et le "Lys" (hollandais) - En 1703 canonnier sur le fort Vauban à Brest. En mars 1705, a la jambe gauche emportée au combat avec Mr De Relingues sur le “Terrible”. Par contre ce capitaine qui commandait le “Terrible” est mort en 1704. Il est estropié en décembre 1711 et employé sous l'état de journalier à partir de Janvier 1712.                 Il faut quand même noter que malgré son amputation il aura encore 2 enfants : Françoise née en 1706 et Marie en 1708. Quelle santé !!
René Hervy
Louis Ballet (Basle)
Samson Ballet (Basle)
Guillaume Goger